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Sous l’impulsion d’habitants excédés, la ville a, il y a un an, fixé une limite annuelle du nombre de touristes. La maire, qui prépare d’autres mesures dissuasives, compte aussi attirer des visiteurs différents.
« C’est mieux ainsi, vous ne trouvez pas ? » Fietje, habitante depuis quarante ans de la Oudezijds Voorburgwal en plein quartier rouge d’Amsterdam, respire, en pointant les quelques grappes de touristes. Mais pour combien de temps encore ? « Oh attendez le week-end : il n’y a que des troupeaux de jeunes, qui boivent, fument et viennent regarder les prostituées. Toute la nuit. Je mets des plantes sur les marches de l’escalier pour qu’ils ne viennent pas s’asseoir ici. Et puis, les touristes asiatiques ne sont pas encore de retour », ajoute-t-elle. À quelques pas de là, un canal plus loin, passe le « smokeboat », un petit bateau-mouche sur lequel on vogue en fumant du cannabis. « C’est typiquement le genre de visiteurs qu’on aimerait ne plus avoir. Des personnes qui consomment la ville au lieu de la visiter. Les « pissup tours » (des circuits organisés pour des enterrements de vie de jeune garçon), vous connaissez ? », questionne Femke Halsema…
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