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CRITIQUE – Le réalisateur d’Un prophète offre un film sans arme ni violence avec cette jolie chronique où le discours et l’amour ont les premiers rôles. À voir sur MyCanal.
Jacques Audiard voulait aller voir ailleurs s’il y était. «J’avais en tête un petit film, avec un logiciel à revoir et l’envie de tourner vite, confiait-il au Figaro au moment de la sortie des Olympiades en novembre 2021. Je sortais des Frères Sisters, un western, les grands espaces, les hommes entre eux, la violence… J’aimais l’idée de surprendre, d’être là où on ne m’attend pas. Et quand une amie m’a fait lire les nouvelles d’Adrian Tomine, auteur de bande dessinée américain, le matériau m’a tout de suite intéressé. C’est d’une grande finesse psychologique.» Dans ce film sans arme ni violence, le réalisateur d’Un prophète arpente un nouveau territoire, les Olympiades, quartier de dalles et de tours dans le 13e arrondissement de Paris, poussées au moment des Jeux olympiques de Grenoble en 1968. Un paysage urbain déjà filmé par Axelle Ropert dans le très beau Tirez la langue mademoiselle.
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Une légèreté et un humour insoupçonnés
Audiard découvre surtout une nouvelle discipline: la chronique. Ici amoureuse et ultramoderne, malgré…
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