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NOUVEAUTÉ – Dans la continuité de la supercar T.50, le second modèle de l’ingénieur sud-africain est un berlinette 2 places dédiée au plaisir de conduite.
Inutile de vous précipiter. Le second modèle développé par Gordon Murray Automotive, la nouvelle société de l’ingénieur sud-africain, est déjà épuisé. À vrai dire, les cent exemplaires ont rapidement trouvé preneur malgré un tarif de 1,37 million de livres sterling hors taxes (1,67 million d’euros). Il faut dire que pour un poids similaire à l’Alpine A110, l’homme des succès de Brabham et de McLaren en F1 a conçu une berlinette qui affiche des caractéristiques et des performances autrement plus impressionnantes. Autour d’une structure monocoque en carbone et en aluminium, la T.33 accueille rien moins que le dernier V12 atmosphérique que Cosworth lui a concocté.
D’une cylindrée de 4 litres, ce bloc en aluminium installé en position centrale arrière a été dégonflé par rapport à la version animant la T.50. Il délivre la puissance de 600 chevaux à un régime incroyable, cramponnez-vous, de 10 500 tr/min. Un régime de rotation réservé aux voitures de course et aux motos. Ce V12 à quatre soupapes par cylindre est même capable de tourner à 11 000 tr/min tandis que le couple s’établit à 451 Nm à 9 000 tr/min. Le rapport poids/puissance 1,8 kg/ch ne connaît pas d’équivalent dans la production actuelle.
Le V12 est accouplé à une boîte manuelle à six rapports. Là encore, Murray a privilégié les sensations à l’efficacité puisqu’une transmission à double embrayage aurait favorisé les performances. D’ailleurs, le constructeur continue à être aussi peu loquace sur les accélérations de son dernier supercar.
Autour d’une longueur de 4,39 m, une largeur de 1,85 m et une hauteur de 1,13 m, la silhouette de la T.33 s’inspire largement des GT des années 1960 qui passionnent Gordon Murray. Ronde et pure, la ligne de la T.33 se dispense de disgracieux appendices aérodynamiques. Murray n’a pas non plus conservé l’énorme extracteur d’air en forme de turbine qui personnifie la T.50. Quant à l’arrière, il évoque la fameuse Porsche 904 GTS avec ses deux feux ronds à chaque extrémité de la poupe.
Cela ne surprendra personne: pour afficher un poids de forme de 1 090 kilos, l’habitacle se dispense de tout superflu. À la différence de la T.50 qui se distingue par ses trois places frontales et sa conduite centrale, la berlinette T.33 est une stricte deux places. L’instrumentation se réduit à sa plus simple expression autour du volant. Cela n’a pas empêché Murray de faire appel à des matériaux de qualité et de soigner la finition.
Les premiers exemplaires de la T.33 seront livrés à partir de l’année 2024. D’ici là, les premières T.50 devraient déjà circuler.
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