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LES VISAGES DE MARILYN (4/6) – Joyce Carol Oates, Norman Mailer, Truman Capote ou Michel Schneider ont mis en scène l’actrice dans leurs livres.
Il y a 60 ans disparaissait l’héroïne de Certains l’aiment chaud. De Norma Jeane, la pin-up pour calendrier, à l’icône peinte par Andy Warhol, en passant par la star de Hollywood, ses multiples facettes ont forgé pour toujours l’image de Marilyn Monroe. Travelling arrière.
Le cinéma ne lui a pas laissé le choix. Si elle avait pu, elle aurait été Nora, Macha, Grouchenka. Marilyn serait montée sur les planches et elle aurait interprété Maison de poupée, Les Trois Sœurs, Les Frères Karamazov sous la direction de Lee Strasberg. Mais non, on ne lui en donna pas le temps. Alors elle fut coureuse de dot, fille du dessus, chanteuse de beuglant. Il n’y a pas de honte à ça. Elle fut donc Rose Loomis, Sugar Kane, Lorelei Lee. Wilder, Huston, Hathaway remplacèrent Ibsen, Dostoïevski, Tchekov. Pourtant, elle aimait tellement les écrivains. On se moquait d’elle à cause de ça. Elle lisait les Pensées de Pascal et L’Interprétation des rêves de Freud, cornait les pages, soulignait des phrases entières.
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