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Les frères Boukherma se prennent les pieds dans les filets de pêche d’une chasse au squale. Une comédie régionaliste ennuyeuse.
Après l’excellent Teddy, qui revisitait de manière tordante le mythe du loup-garou en le mettant à la sauce landaise et fleurait bon la comédie sociale trempée dans le film d’horreur, on attendait avec impatience L’Année du requin, des frères Boukherma. Trentenaires sortis d’un village du Lot-et-Garonne, Ludovic et Zoran ont secoué le petit monde du cinéma de genre dès 2016, avec Willy 1er, avant d’enfoncer le clou avec Teddytrois ans plus tard.
Inutile de tourner autour du pot, L’Année du requin est une belle déception. Même si, cette fois, le tandem a bénéficié d’un confortable budget et d’un casting cinq étoiles, il ne parvient pas à concilier cinéma populaire et cinéma d’auteur. L’Année du requin se situe une nouvelle fois sur la côte landaise, non loin du bassin d’Arcachon. Maja (Marina Foïs, impeccable après En roue libre et As bestas) est une gendarmette consciencieuse à deux doigts de la retraite. Le jour où un vacancier disparaît mystérieusement, mettant la côte en alerte, elle…
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