[ad_1]
Deux ans quasi jour pour jour après l’explosion qui a ravagé le port de Beyrouth et une partie de la capitale libanaise, la ville est de nouveau plongée dans le chagrin et la peur. Dimanche 31 juillet, une partie des silos à grains du port s’est effondrée dans un épais nuage de fumée et de poussière après avoir été en proie, pendant une quinzaine de jours, à un incendie.
Le Liban avait pourtant prévu de détruire ces silos au mois d’avril – ils ne pouvaient pas être vidés des céréales restantes en raison des risques de chute. Mais les familles des quelque deux cents morts de l’explosion du 4 août 2020 s’y étaient opposées. Elles souhaitaient que ces silos restant permettent au port d’être un lieu de mémoire pour ne pas oublier la catastrophe qui s’y était déroulée.
Contribuer
[ad_2]
Source link
L’espace des contributions est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour accéder à cet espace d’échange et contribuer à la discussion.